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Ouverture de la Fashion Week à Paris

Les premiers défilés parisiens confirment l’idée d’un surhomme moderne pour cette saison.

La semaine de la mode masculine a débuté hier à Paris, ouverte entre autres par un défilé Julien David placé entre sport chic et confort hivernal. Longs teddys, sarouels, shorts matelassés et chemises droites : les silhouettes marient un streetwear moderne à une classe décontractée presque anglo-saxonne. Une tendance british qui a l’air de se préciser cette saison puisqu’elle se démarque dès les premiers shows, notamment dans les tissus à carreaux et pied de poule de Valentino et certaines silhouettes aux allures de schoolboys de Walter Van Beirendonck, dont le défilé mêlait des vestes éclairs façon David Bowie à de longs manteaux en camouflage revisité portés par des grands maigres à l’air inquiétant.

Chez Carven, des blonds cagoulés en pantalons de costards sous le genou font penser aux disparus de Saint Agil retrouvés quinze ans plus tard (ou a Angus Young version sage si on va par là), pas inintéressant, alors que Mugler présente comme toujours un homme stricte à l’allure militaire décalée, un croisement entre pilote de ligne et Corto Maltèse futuriste. Agréable surprise chez Christian Lacroix, Sacha Walckhoff revisite le bleu de travail sous toutes ses formes, une version améliorée de l’ouvrier de Liverpool qui ne passe pas inaperçue.

Ce premier jour de fashion week semble confirmer ce que l’on pouvait lire à travers les précédentes : cette saison l’homme est aussi bien Beetlejuice que Sherlock Holmes, Bioman ou Frankenstein, le tout avec une justesse de propos jusqu’ici non négligeable.

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